Amélie entretient un lien sensible avec le paysage.

Une femme en vêtements de travail, équipée d'une pelle, excavant dans un terrain soil

Elle arpente, elle glane, elle assemble des matières de ses pérégrinations ligériennes ou montagnardes. Elle transforme, elle réhydrate, elle pilonne, broie et brûle toutes ses trouvailles. Un jeu infini d’expérimentation et de hasard.

Trois roches de différentes tailles et textures, dans une surface sombre.
Terre sauvage pour le la céramique

Chez elle, la céramique est un outil pour prolonger un lien sensible avec la nature

Elle récolte dans la nature des argiles, des roches et des végétaux pour modeler et émailler ses céramiques. Le paysage est un prétexte pour faire de la céramique et la céramique un prétexte pour aller dans le paysage. Mélangeuse de territoires.

Une femme en vêtements beige, assise par terre près d'un cheminée en pierre, tient un vieux tambour en bronze et l'observe attentivement dans un intérieur rustique.

Elle broie, elle brûle,
elle lie les éléments.

Chaque objet modelé est constitué d’une petite géographie intime, témoin de lieux arpentés, inspiré de la nature et issu de celle-ci. Chaque cuisson est une surprise. Les matières brutes s’expriment, les roches ressortent pour donner à chacune de ses pièces un aspect libre et spontané, texturé et vibrant.